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1 2 3 4 5 6 7 8 9 suivant fin jeudi 22 novembre 4 22 / 11 / nov 12:39 hotel formule 1 cette histoire remonte au début de notre mariage nous n’avions pas beaucoup de sous et lorsque nous allions à l’hôtel, on se contentait des « formule 1 ». l’avantage (en plus du prix) principal était aussi l’inconvénient majeur : les toilettes et la douche sont communes, sur le palier. l’avantage c’est l’absence de mauvaises odeurs et de gêne vis-à-vis de l’autre ; l’inconvénient c’est de faire la queue pour aller aux toilettes ou se doucher, et surtout ne pas avoir les sanitaires rien que pour soi, propres. a l’époque je n’étais absolument pas exhibitionniste mais cette situation m’y a presque conduite. en effet, je ne supporte pas me rhabiller avec des vêtements sales et je n’ai absolument pas confiance en la propreté de ces douches pour y poser ma nuisette. aussi je prenais toujours une grande serviette et je m’en retournais dans ma chambre vêtue de ce seul vêtement ! ce jour-là, nous étions en déplacement pour mon mari qui devait suivre un stage pour passer son troisième dan de krav maga, inutile de préciser que je l’accompagnais pour être près de lui, pas pour participer ni même regarder ! pas drôle. donc je l’accompagnais au dojo (ce week-end-là dans un grand complexe sportif de nantes), je regardais généralement 10 minutes puis j’allais me promener. c’était vendredi soir, mon mari était déjà lavé et au lit (télé) et moi je suis allée aux douches. je n’ai pas eu à attendre et ais pu me laver tranquille. comme nos soirées d’hôtel sont souvent prétextes à quelques excès de câlins, j’avais pris soin de parfaire mon épilation (rasage en fait) pour qu’il puisse m’embrasser de partout ! ;)) mais en sortant, il y avait pas mal de monde qui attendait. je ne traîne pas et me sauve très vite… trop vite. mes chaussures (des petites mules mignonnes avec un petit talon de 3 cm à peine) râpent, et je m’écroule par terre. je me suis fait mal à une cheville. assise en semi tailleur, je prends la cheville douloureuse dans la main. les gens qui attendaient s’approchent pour m’aider. je suis kiné, laissez-moi regarder un homme d’une quarantaine d’année – plutôt bel homme d’ailleurs, athlétique – prend ma cheville et la caresse plus qu’il ne la touche. vous avez une petite entorse, assez minime mais qui va vous faire souffrir si on ne fait rien. j’ai de la pommade magique dans ma trousse, si vous voulez bien je vais vous en mettre un peu. le choc passé, je reprenais mes esprits. j’étais assise par terre, mes affaires étalées, ma serviette également. j’étais assise en tailleur, par terre, toute nue, devant cinq ou six personnes qui pouvaient se rincer l’œil en matant mon intimité très largement exposée. la gêne, la honte m’a embrasée et je voulais disparaitre sans tarder. j’ai essayé de me lever mais la douleur était bien là. mon kiné me semblait la moins mauvaise des solutions. je veux bien oui ; aidez-moi à me lever s’il vous plait evidemment, appuyez-vous sur moi eric, ramasse les affaires de madame voilà, on y va c’est ainsi que j’ai accompagné cet homme et eric dans la chambre qu’ils partageaient, à deux pas de celle de mon mari. patrick était le kiné d’une équipe de handball (et eric l’un des joueurs) qui venait faire une compétition, un tournoi (samedi et dimanche) à nantes. ce qui s’est passé ensuite est mon histoire. je suis curieuse d’imaginer comment vous auriez aimé qu’elle se déroule. plus email lien imprimer par yoni - publié dans : journal intime ecrire un commentaire 3 - voir le commentaire - voir les 3 commentaires mardi 19 juin 2 19 / 06 / juin 23:45 djibouti texte original : djibouti mon mari est un ancien militaire. il y a des années il m'a demandé de le rejoindre quelques jours (3 semaines) à djibouti et nous avons passé quelques jours dans le nord (tadjoura, obock... sur les traces d'henri de monfreid et la forêt de day). nous avons dormi dans un drôle de site, censé accueillir des touristes (nous étions les seuls) dans des huttes autochtones très très rustiques! je vous passe la promenade (très étranges, avec ces grands singes cynocéphales qui nous suivent et sont un peu inquiétants) pour évoquer les moments coquins, à deux sous la douche dans un vrai bâtiment en (presque) dur ou dans la hutte. le point commun au petit bâtiment pour la douche et à la hutte ? pas étanche ! j'ai eu un doute pendant que l'on faisait l'amour dans la douche mais les ouvertures étaient assez hautes. je n'ai vu personne mais j'ai eu le sentiment d'être observée... puis dans la hutte. j'étais au-dessus de mon mari (j'adore cette position, je contrôle et règle la pénétration) quand je l'ai senti se contracter, alors j'ai changé rapidement pour recueillir "ma" liqueur préférée entre mes lèvres. je plonge et me retrouve très près du sol, là où il y a une bande "vide". je vois le sol dehors, et des pieds, ceux du jeune danakil qui nous a reçus. en fait je vois ses orteils faces à nous... il ne fait pas que passer, il est là. depuis combien de temps? je ne sais pas, mais sa présence m'a galvanisée et je me suis montrée bien plus coquine que d'habitude. alors que j'aime finir nos émois en le recevant dans ma bouche, là je lui ais dit, j'espère assez clairement pour que notre invitée entende : "si aprés être arrivé comme ça tu es encore assez dur, j'ai envie que tu me prenne par derrière, là où tu aimes bien. et si tu n'y arrives pas je te previens, il y a un beau jeune homme sur le camps qui prendrait bien la place" mon mai a assuré. il ne s'est rien passé de plus. uchronie / variation 1, les cynocéphales je vois le sol dehors, et des pieds, des pieds étranges, ou plutôt des mains sombres, griffues... je suis tellement stupéfaite que je pense à un monstre, un être malfaisant. l'éloignement de ma france natale, l'ambiance bizarre qui a régné tout au long de la journée se confirme par cette présence. je reste sans voix. je tape tout doucement de la main sur la cuisse de mon mari et lui fait signe, lui désignant l'endroit de ma vision horrible. je pensais que lorsque mon mari se lèverait, l'importun s'enfuirait. mais il n'en est rien. n'écoutant que son courage, mon mari se dirige sans bruit vers la porte. je l'incite à la prudence. il sort et il éclate de rire. c'est un babouin, assez familier, qui vit parmi ces huttes. mon mari entre, vient chercher une banane dans la corbeille à fruit et revient quelques instants plus tard avec le singe. il est immense, plus d'un mètre de hauteur. non! je n'aime pas ces animaux! ils me font peur!!! mais le cynocéphale n'en a cure et s'empare de la banane que lui tend mon mari. il a l'air très familier. mon mari rit à nouveau. c'est mooki ! c'est la mascotte du village... il est inoffensif! quasiment apprivoisé! on va un peu s'amuser avec lui... fais sortir cette bête!! j'ai horreur de ses animaux. ils ont des attitudes tellement humaines... je... ça me trouble, ils me fascinent. mooki a englouti la banane. maintenant il inspecte la pièce, à la recherche de nourriture et n'a pas l'air décidé de partir. puis il se fige, il lève le nez en l'air et renifle bruyamment. il se tourne vers le lit, et fourre son nez dans les draps, à l'endroit même où quelques instants plus tôt nous nous ébattions. il s'excite vraiment maintenant, et son attitude devient un peu agressive... je suis terrorisée. mon mari se marre toujours autant. il n'est pas du tout impressionné par le singe et s'esclaffe : il a l'air d'apprécier ton odeur de femelle !! regarde dans l'état où il est ? je suis son regard et reste interloquée. il arbore un magnifique pénis, rose vif, qui contraste énormément au milieu de son pelage brun doré. il est disproportionné et c'en est presque ridicule. on dirait une peluche avec un godemiché rose. la tension est perceptible. l'animal flaire la piste de la femelle en chaleur. immanquablement il approche de moi en balançant des épaules. un vrai mâle sûr de sa force. j'évite de le fixer, de le regarder dans les yeux. mon mari m'a appris les rudiments de compo